Des objets promotionnels à faible empreinte carbone, c’est possible !

Grâce à des produits conçus et pensés ici, au Québec, kotmo veut révolutionner l’univers des objets promotionnels des entreprises. Et cela, tout en conseillant les chefs d’entreprises sur les meilleurs choix quant aux articles durables et réutilisables.
Kotmo est née il y a huit ans, de l’initiative de Céline Juppeau. C’est en fréquentant les événements d’affaires qu’elle a constaté qu’il existait peu ou pas de choix écologiques pour les objets promotionnels. « J’entendais des entreprises parler de développement durable, de recyclage, d’achat local… et je repartais avec une clé USB fabriquée en Chine », se souvient la fondatrice de kotmo.
Forte d’une maîtrise en architecture et en design obtenue dans sa France natale, elle s’est alors mis en tête de trouver une solution à offrir au monde des affaires. « Des objets qui ont une réflexion derrière pour que les entreprises puissent acheter des articles qui sont en lien avec leurs valeurs », dit celle qui croit que « les grands changements de société passent par les entreprises ».
L’entreprise met d’ailleurs beaucoup d’efforts en recherche et développement pour créer ses propres produits. « Habituellement, sur le marché, ce sont surtout des distributeurs d’objets promotionnels. Nous, on fait les deux », ajoute Mme Couture. Kotmo possède tout de même quelques articles offerts seulement en distribution. L’entreprise justifie cette décision « parce qu’on ne peut pas les trouver en fabrication locale encore aujourd’hui et que ça enlève des objets à usage unique sur le marché », précise la copropriétaire.
Photo: ©kotmo
Les matériaux privilégiés sont souvent issus du recyclage. « Donc, on ne crée pas une nouvelle matière. L’idée est aussi de savoir, à la fin de vie du produit, ce qu’on en fait. On ne le jette pas juste pour l’enfouir sous terre », détaille Mme Juppeau. Un travail « constant » de recherche pour kotmo, souligne sa fondatrice.
« Ça nous arrive régulièrement de suggérer de diminuer le nombre d’objets commandés. On n’est pas obligé de donner un objet à tout le monde pour faire connaître sa marque. On veut créer une relation significative en premier lieu », indique-t-elle.
« Il y a ces réflexions pour nous assurer de ne pas offrir tout le temps le même objet, mais de vraiment utiliser le produit comme un outil marketing, une façon de matérialiser son image de marque », ajoute Mme Juppeau.
Dans un souci de durabilité, kotmo privilégie des objets qui vont résister un maximum d’années, précise Mme Couture. Ainsi, l’entreprise conçoit des articles « simples et utiles qui ne s’inscrivent pas nécessairement dans une tendance qui va être out dans un an ou deux », détaille-t-elle.
Photo: ©kotmo
Une démarche de réduction des déchets et des gaz à effet de serre (GES) qui constitue le cœur même de l’ADN de kotmo. « Est-ce qu’on peut par exemple regrouper des livraisons et, si quelque chose doit être importé d’outre-mer, s’assurer que ça vient en bateau et pas en avion ? » illustre Mme Juppeau. Pour diminuer son empreinte carbone en matière de transport, l’entreprise a par ailleurs choisi d’effectuer toutes ses livraisons sur l’île de Montréal à vélo.
Pour encourager les gens d’affaires à l’imiter et à devenir ainsi un véritable vecteur de changement, kotmo mesure son incidence sociale et environnementale. « Il y a huit ans, c’était quand même un effort. Il n’y avait pas beaucoup d’entreprises qui choisissaient le local », se souvient Céline Juppeau.
Afin de garder prioritaire la mission écologique de son entreprise, la fondatrice de kotmo a donc obtenu la certification B Corp, qui « met le profit, les humains et la planète au même niveau », estime-t-elle. Ainsi, l’objectif de l’entreprise reste avant tout d’avoir une incidence sociale et environnementale, ajoute Mme Juppeau. « C’est vraiment de penser une entreprise différemment. »
Lancé à l’automne dernier, le stylo ciklo, de kotmo, a été conçu à partir de plastique recyclé au Québec. « On utilise le polypropylène recyclé, ou plastique numéro cinq, car on peut le recycler à plusieurs reprises », résume Cindy Couture. La chaîne de production regroupe jusqu’à neuf entreprises pour créer le stylo.
Le stylo reste le deuxième objet le plus acheté dans l’industrie promotionnelle, selon une étude de l’association américaine Promotional Productions Association International (PPAI). D’ailleurs, selon Statistique Canada, on importe en moyenne chaque année 145 millions de stylos au pays.
L’entreprise affirme que sa fabrication locale a permis de réduire 99 % des émissions de GES, comparativement à un produit similaire qui aurait été fabriqué en Asie. Les émissions liées à sa fabrication sont équivalentes à celle d’un simple envoi de courriel, ajoute Mme Couture.
La cartouche équivaut, quant à elle, « à peu près à deux stylos traditionnels ». Kotmo collecte en plus ses stylos en fin de vie afin de les recycler. « On a mis un programme sur pied pour nous assurer que ce plastique est remis dans l’industrie et peut être regranulé pour faire d’autres stylos ou d’autres produits avec la matière », souligne Mme Juppeau.

www.kotmo.ca
www.kotmo.ca/ciklo
Kotmo est une entreprise québécoise à propriété féminine qui réinvente la publicité par l’objet pour que chacun de ses clients adopte des pratiques socialement et environnementalement responsables.
Kotmo est née il y a huit ans, de l’initiative de Céline Juppeau. C’est en fréquentant les événements d’affaires qu’elle a constaté qu’il existait peu ou pas de choix écologiques pour les objets promotionnels. « J’entendais des entreprises parler de développement durable, de recyclage, d’achat local… et je repartais avec une clé USB fabriquée en Chine », se souvient la fondatrice de kotmo.
Forte d’une maîtrise en architecture et en design obtenue dans sa France natale, elle s’est alors mis en tête de trouver une solution à offrir au monde des affaires. « Des objets qui ont une réflexion derrière pour que les entreprises puissent acheter des articles qui sont en lien avec leurs valeurs », dit celle qui croit que « les grands changements de société passent par les entreprises ».
Une économie circulaire
La marque de commerce de kotmo : proposer des objets écoconçus, en considérant la provenance des matériaux et la méthode de fabrication. « On va favoriser les entreprises de réinsertion sociale dans la fabrication ou dans l’assemblage. On va utiliser de la matière certifiée recyclée ou recyclable le plus possible », détaille Cindy Couture, copropriétaire, associée et directrice de l’innovation durable chez kotmo.L’entreprise met d’ailleurs beaucoup d’efforts en recherche et développement pour créer ses propres produits. « Habituellement, sur le marché, ce sont surtout des distributeurs d’objets promotionnels. Nous, on fait les deux », ajoute Mme Couture. Kotmo possède tout de même quelques articles offerts seulement en distribution. L’entreprise justifie cette décision « parce qu’on ne peut pas les trouver en fabrication locale encore aujourd’hui et que ça enlève des objets à usage unique sur le marché », précise la copropriétaire.

Privilégier la qualité à la quantité
Stylos, sacs réutilisables faits de bouteilles de plastique recyclées, pochettes d’ordinateur en feutre, articles en bois… Forte d’une centaine de produits dans son catalogue, kotmo désire privilégier la qualité des articles proposés. « Pour nous, ça n’a pas de sens d’offrir des objets rien que pour offrir des objets », résume Mme Couture. À ses clients, elle présente d’ailleurs une solution de rechange afin de les orienter vers des choix durables.« Ça nous arrive régulièrement de suggérer de diminuer le nombre d’objets commandés. On n’est pas obligé de donner un objet à tout le monde pour faire connaître sa marque. On veut créer une relation significative en premier lieu », indique-t-elle.
« Il y a ces réflexions pour nous assurer de ne pas offrir tout le temps le même objet, mais de vraiment utiliser le produit comme un outil marketing, une façon de matérialiser son image de marque », ajoute Mme Juppeau.
Dans un souci de durabilité, kotmo privilégie des objets qui vont résister un maximum d’années, précise Mme Couture. Ainsi, l’entreprise conçoit des articles « simples et utiles qui ne s’inscrivent pas nécessairement dans une tendance qui va être out dans un an ou deux », détaille-t-elle.

Pour encourager les gens d’affaires à l’imiter et à devenir ainsi un véritable vecteur de changement, kotmo mesure son incidence sociale et environnementale. « Il y a huit ans, c’était quand même un effort. Il n’y avait pas beaucoup d’entreprises qui choisissaient le local », se souvient Céline Juppeau.
Afin de garder prioritaire la mission écologique de son entreprise, la fondatrice de kotmo a donc obtenu la certification B Corp, qui « met le profit, les humains et la planète au même niveau », estime-t-elle. Ainsi, l’objectif de l’entreprise reste avant tout d’avoir une incidence sociale et environnementale, ajoute Mme Juppeau. « C’est vraiment de penser une entreprise différemment. »
Un stylo écoresponsable

Le stylo reste le deuxième objet le plus acheté dans l’industrie promotionnelle, selon une étude de l’association américaine Promotional Productions Association International (PPAI). D’ailleurs, selon Statistique Canada, on importe en moyenne chaque année 145 millions de stylos au pays.
L’entreprise affirme que sa fabrication locale a permis de réduire 99 % des émissions de GES, comparativement à un produit similaire qui aurait été fabriqué en Asie. Les émissions liées à sa fabrication sont équivalentes à celle d’un simple envoi de courriel, ajoute Mme Couture.
La cartouche équivaut, quant à elle, « à peu près à deux stylos traditionnels ». Kotmo collecte en plus ses stylos en fin de vie afin de les recycler. « On a mis un programme sur pied pour nous assurer que ce plastique est remis dans l’industrie et peut être regranulé pour faire d’autres stylos ou d’autres produits avec la matière », souligne Mme Juppeau.

www.kotmo.ca
www.kotmo.ca/ciklo
Kotmo est une entreprise québécoise à propriété féminine qui réinvente la publicité par l’objet pour que chacun de ses clients adopte des pratiques socialement et environnementalement responsables.
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