Critères ESG et exportation : un atout dans le contexte économique actuel

Dans un monde de plus en plus concurrentiel, marqué par des événements comme la guerre en Ukraine et les catastrophes climatiques qui bouleversent les marchés et les chaînes d’approvisionnement, les bonnes pratiques environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) peuvent donner aux exportateurs canadiens une longueur d’avance sur la concurrence.
Les stratégies ESG font maintenant partie de l’arsenal des entrepreneurs et des exportateurs désireux de prendre de l’expansion, particulièrement à l’international. Les PME reconnaissent de plus en plus que le renforcement de pratiques commerciales durables les rendra plus compétitives en mitigeant les risques, en créant de nouvelles occasions d’affaires et en augmentant leur accès à du capital. Quelle que soit leur taille, toutes les entreprises doivent reconnaître l’importance de mettre en place des pratiques commerciales durables, et cet engagement doit être soutenu par l’équipe de direction, croit-on chez Exportation et développement Canada (EDC).
Rappelons que l’acronyme ESG regroupe l’ensemble des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance qui définissent le comportement d’une société en matière de durabilité et d’éthique. Une bonne stratégie en la matière peut considérablement rehausser le profil d’une entreprise sur le marché et donner de la valeur à ses produits et services, tout en démontrant que ses gestionnaires s’investissent pour réduire les effets négatifs de leurs activités sur les populations et les ressources naturelles. C’est en quelque sorte une preuve d’intégrité sociale et environnementale.
Parmi les gestes qui peuvent être posés, mentionnons la réduction de la consommation d’énergie et d’eau, la réduction des déchets, la gestion optimale des stocks, l’adoption d’énergies renouvelables, l’implantation de processus écoénergétiques, la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) et la réduction de la déforestation. Sans compter la mise en place de chaînes d’approvisionnement ayant un impact minimal sur les personnes et sur la planète.
Ces changements demandent temps et investissements, certes, mais ils permettent aussi de marquer des points du côté des consommateurs. En effet, ceux-ci tiennent de plus en plus à savoir si les produits qu’ils consomment proviennent de sources responsables, tant sur le plan environnemental que social, et ils sont prêts à payer plus cher pour obtenir ces informations en toute transparence.
Un nombre grandissant d’organismes de crédit à l’exportation comme EDC ont mis en place des mécanismes de contrôle pour mesurer l’acceptabilité sociale des pratiques commerciales. Parmi les facteurs qui sont évalués, on note les conditions de travail, le respect des normes en santé et sécurité, le respect de codes d’éthique et d’inclusion et, enfin, l’approche globale sur la question des droits de la personne. Cette analyse porte sur les entreprises canadiennes, mais également sur tous les clients potentiels de celles-ci sur les marchés internationaux. L’objectif ultime : participer à l’avènement d’une société plus équitable et plus inclusive, où les droits de la personne seront respectés et où tout le monde pourra s’épanouir.
La bonne gouvernance touche aussi la stratégie fiscale, la rémunération, le lobbying politique, la lutte à la corruption et la diversité. La performance des entreprises à ces chapitres est de plus en plus scrutée par les clients, les investisseurs, les parties prenantes et les employés. EDC y est d’ailleurs très sensible, et les facteurs ESG font maintenant partie de son processus de diligence raisonnable lorsque vient le temps d’évaluer des projets et d’accorder aux exportateurs son soutien financier.
Pour les organisations désireuses de se développer à l’international, le non-respect des facteurs ESG limite l’accès à des fonds de roulement et envoie un message négatif dans le marché. Des études démontrent d’ailleurs que les consommateurs préfèrent les marques durables, de même que les produits d’une entreprise respectueuse de l’environnement et socialement active.
Les solutions ESG permettent également, ne l’oublions pas, d’encourager l’innovation et la croissance tout en atténuant les risques, car elles incitent les entrepreneurs canadiens à explorer de nouvelles – et meilleures – façons de faire des affaires. Ces innovations peuvent en outre déboucher sur d’intéressantes possibilités de croissance. Notons également l’avantage RH, car les jeunes recrues, qui sont particulièrement sensibles aux questions sociales et environnementales, préfèrent travailler pour des entreprises ayant adopté les principes ESG.
Pour vous informer sur les normes ESG et apprendre comment elles peuvent vous permettre d’atteindre vos objectifs d’exportation, visionnez le webinaire gratuit d’EDC,
Bâtir son entreprise en tirant profit des facteurs ESG.
Pour en savoir plus sur les solutions offertes par Exportation et développement Canada en matière de financement, d’assurances, de connaissance des marchés et de relations commerciales, rendez-vous sur edc.ca. Vous pouvez également communiquer avec un conseiller commercial à tradeadvisor-conseiller@edc.ca, en composant
le 1 800 229-0575 ou en soumettant une demande en ligne sur edc.ca.
Exportation et développement Canada (EDC) aide les entreprises canadiennes de toutes tailles à réussir à l’étranger. Nous leur offrons les outils dont elles ont besoin pour prospérer en toute confiance. Nous utilisons notre savoir commercial et nos solutions financières uniques pour soutenir et développer le commerce durable entre le Canada et le reste du monde, ainsi que la capacité concurrentielle du pays sur le marché international.
Les stratégies ESG font maintenant partie de l’arsenal des entrepreneurs et des exportateurs désireux de prendre de l’expansion, particulièrement à l’international. Les PME reconnaissent de plus en plus que le renforcement de pratiques commerciales durables les rendra plus compétitives en mitigeant les risques, en créant de nouvelles occasions d’affaires et en augmentant leur accès à du capital. Quelle que soit leur taille, toutes les entreprises doivent reconnaître l’importance de mettre en place des pratiques commerciales durables, et cet engagement doit être soutenu par l’équipe de direction, croit-on chez Exportation et développement Canada (EDC).
Rappelons que l’acronyme ESG regroupe l’ensemble des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance qui définissent le comportement d’une société en matière de durabilité et d’éthique. Une bonne stratégie en la matière peut considérablement rehausser le profil d’une entreprise sur le marché et donner de la valeur à ses produits et services, tout en démontrant que ses gestionnaires s’investissent pour réduire les effets négatifs de leurs activités sur les populations et les ressources naturelles. C’est en quelque sorte une preuve d’intégrité sociale et environnementale.
Réduire son empreinte carbone, une action à la fois
De nos jours, crise climatique oblige, économie et environnement doivent aller de pair pour assurer l’avenir de la planète. Puisqu’un nombre croissant de pays, d’organisations et d’entreprises sont déterminés à atteindre la carboneutralité d’ici 2050, les pratiques commerciales durables sont dorénavant incontournables pour quiconque souhaite réussir sur les marchés mondiaux. EDC considère qu’elles sont un gage de réussite à long terme, et la société d’État s’est engagée à aider les entreprises canadiennes à être reconnues comme des chefs de file en la matière à l’échelle internationale.Parmi les gestes qui peuvent être posés, mentionnons la réduction de la consommation d’énergie et d’eau, la réduction des déchets, la gestion optimale des stocks, l’adoption d’énergies renouvelables, l’implantation de processus écoénergétiques, la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) et la réduction de la déforestation. Sans compter la mise en place de chaînes d’approvisionnement ayant un impact minimal sur les personnes et sur la planète.
Ces changements demandent temps et investissements, certes, mais ils permettent aussi de marquer des points du côté des consommateurs. En effet, ceux-ci tiennent de plus en plus à savoir si les produits qu’ils consomment proviennent de sources responsables, tant sur le plan environnemental que social, et ils sont prêts à payer plus cher pour obtenir ces informations en toute transparence.
Respecter les droits de la personne, ici et ailleurs
Une bonne stratégie ESG doit aussi favoriser le respect des droits de la personne et l’équité sociale. Il est démontré que les milieux de travail inclusifs, équitables et représentatifs de la diversité offrent aux employés et aux partenaires commerciaux davantage de possibilités de réussite. Les valeurs sociales des entreprises et la façon dont elles traitent les personnes occupent désormais une place importante dans l’analyse des perspectives d’affaires, au Canada comme à l’étranger.Un nombre grandissant d’organismes de crédit à l’exportation comme EDC ont mis en place des mécanismes de contrôle pour mesurer l’acceptabilité sociale des pratiques commerciales. Parmi les facteurs qui sont évalués, on note les conditions de travail, le respect des normes en santé et sécurité, le respect de codes d’éthique et d’inclusion et, enfin, l’approche globale sur la question des droits de la personne. Cette analyse porte sur les entreprises canadiennes, mais également sur tous les clients potentiels de celles-ci sur les marchés internationaux. L’objectif ultime : participer à l’avènement d’une société plus équitable et plus inclusive, où les droits de la personne seront respectés et où tout le monde pourra s’épanouir.
Opter pour une éthique commerciale irréprochable
Troisième élément de la triade ESG, une saine gouvernance est essentielle pour intégrer les bonnes pratiques durables, qu’elles soient environnementales ou sociales, au sein des organisations et des sociétés. Les questions de gouvernance touchent les structures mêmes de l’entreprise, incluant son conseil d’administration et son équipe de direction, ainsi que les politiques, procédures et contrôles mis en place pour faire des affaires de manière éthique.La bonne gouvernance touche aussi la stratégie fiscale, la rémunération, le lobbying politique, la lutte à la corruption et la diversité. La performance des entreprises à ces chapitres est de plus en plus scrutée par les clients, les investisseurs, les parties prenantes et les employés. EDC y est d’ailleurs très sensible, et les facteurs ESG font maintenant partie de son processus de diligence raisonnable lorsque vient le temps d’évaluer des projets et d’accorder aux exportateurs son soutien financier.
Les avantages d’une solide stratégie ESG
Les organisations qui ont intégré des valeurs de développement durable dans leur culture d’entreprise et dans leurs activités – qu’il s’agisse de gestion du risque, des opérations ou d’initiatives sociales et environnementales – sont mieux positionnées que les autres pour attirer de l’investissement en capital, qu’elles obtiennent souvent à moindre coût. De plus, de nombreux investisseurs tournent carrément le dos aux sociétés qui n’appliquent pas les pratiques de gouvernance adéquates.Pour les organisations désireuses de se développer à l’international, le non-respect des facteurs ESG limite l’accès à des fonds de roulement et envoie un message négatif dans le marché. Des études démontrent d’ailleurs que les consommateurs préfèrent les marques durables, de même que les produits d’une entreprise respectueuse de l’environnement et socialement active.
Les solutions ESG permettent également, ne l’oublions pas, d’encourager l’innovation et la croissance tout en atténuant les risques, car elles incitent les entrepreneurs canadiens à explorer de nouvelles – et meilleures – façons de faire des affaires. Ces innovations peuvent en outre déboucher sur d’intéressantes possibilités de croissance. Notons également l’avantage RH, car les jeunes recrues, qui sont particulièrement sensibles aux questions sociales et environnementales, préfèrent travailler pour des entreprises ayant adopté les principes ESG.
Un marché en constante évolution
À titre d’organisme de crédit à l’exportation, EDC a le devoir d’exercer ses activités dans le respect des droits de la personne en valorisant les pratiques durables dans sa culture, ses communications et ses analyses. Désireuse d’aider ses clients à prendre en compte les critères ESG dans l’évolution et la capacité concurrentielle de leur entreprise, la société d’État joue un rôle de leader et agit comme un influenceur auprès des institutions financières.Pour vous informer sur les normes ESG et apprendre comment elles peuvent vous permettre d’atteindre vos objectifs d’exportation, visionnez le webinaire gratuit d’EDC,
Bâtir son entreprise en tirant profit des facteurs ESG.
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