Camping d’automne : la plus belle des saisons

À essayer : la formule prêt-à-camper de la Sépaq.
Photo: Mikael Rondeau À essayer : la formule prêt-à-camper de la Sépaq.
Moins de touristes, moins de moustiques, du temps clément et la fête des couleurs en prime, qui dit mieux ? Sept bonnes raisons pour partir à l’aventure dans les parcs nationaux et les territoires de la Sépaq.

1. Le temps (très) bon

Le camping automnal séduit de plus en plus d’adeptes, et pour cause : de la mi-août jusqu’à la mi-octobre, les conditions idéales sont réunies pour permettre aux campeurs de profiter pleinement de la nature, qui est au mieux en cette période de l’année. Après les canicules estivales, le temps est propice aux randonnées à pied ou en vélo (particulièrement lorsque les parcours sont plus exigeants). En fonction des régions, l’eau est encore assez chaude pendant le mois de septembre pour la pratique de la planche à pagaie – et on peut bien sûr faire du canot ou du kayak pendant toute la saison.

2. Les soirées fraîches

Le soleil se couche plus tôt ? C’est le prétexte idéal pour se réunir autour d’un feu de camp avec un chocolat chaud (ou un verre de vin !), pour profiter des soirées qui s’étirent tranquillement autour d’un repas réconfortant et, par temps clair, pour observer les étoiles sans avoir à veiller tard. Tout ça sans se faire harceler par des insectes piqueurs. Autre avantage des nuits d’automne : leur fraîcheur favorise un sommeil profond et réparateur.

3. Le spectacle des couleurs

Assister à la grande métamorphose annuelle du paysage québécois, c’est tout un privilège, surtout en randonnée, lorsqu’on peut respirer à fond l’odeur musquée des feuilles et de l’humus. Les circuits en montagne sont particulièrement prisés, car ils offrent un point de vue unique sur la flambée des feuilles. Parmi les plus beaux sentiers en altitude, on compte celui de La Roche, au parc national du Mont-Tremblant, celui de l’Escalier-du-Nord, au parc national du Mont-Orford, et la boucle du Sommet Saint-Joseph du parc national du Mont-Mégantic. Enfin, lorsque les paysages démesurés du fjord du Saguenay se parent de couleurs, le spectacle est à tomber par terre. Une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie, en empruntant le sentier Les Caps ou en s’offrant un hallucinant parcours de via ferrata (hybride entre l’escalade et la randonnée à flanc de rocher) aménagé sur les parois de la baie Éternité.
Photo: Mathieu Dupuis Randonnée en altitude au parc national du Mont-Orford.

4. L’accès aux plus beaux sites de camping

Planter sa tente (ou stationner son VR) au bord d’un lac, près d’une rivière ou dans un emplacement tout à fait exceptionnel, c’est beaucoup plus facile pendant la saison automnale en raison de la baisse d’achalandage. Parmi les destinations de la Sépaq qui valent le détour et où l’on peut séjourner jusqu’au 12 octobre, citons le parc national du Mont-Orford, où des emplacements de choix sont offerts dans le secteur du lac Stukely, et où l’on peut profiter de nouveaux sentiers de vélo de montagne. Il est aussi possible de camper dans tous les secteurs du parc national d’Oka, où l’on peut profiter des nombreux sentiers de randonnée pédestre et de vélo – sans oublier les balades sur la plage. Au parc national de la Jacques-Cartier, également réputé pour ses sentiers de randonnée, on peut passer la nuit dans les splendides boisés des campings Les Alluvions, La Bétulaie ou L’Escarpement. Envie d’une escapade familiale ? Le camping des Voltigeurs, à proximité de Drummondville, accueille petits et grands jusqu’à l’Action de grâce dans plusieurs secteurs de camping. La Promenade Riva y est particulièrement belle en automne.

5. Le prêt-à-camper au chaud

Avis à ceux qui tiennent à leur petit confort : dans plusieurs parcs nationaux et territoires de la Sépaq, on trouve des unités de prêt-à-camper tout équipées, dotées d’un chauffage d’appoint. Elles disposent d’un bloc sanitaire à proximité, d’un trou à feu, de tables de pique-niqueet de chaises extérieures. Bref, tout pour profiter de la nature sans se compliquer la vie ! À noter : le parc national d’Oka offre des unités adaptées pour les personnes à mobilité réduite.
Photo: Fokus Productions Une rencontre inoubliable à la réserve faunique de Matane.

6. La faune à son meilleur

L’automne est la saison de prédilection pour admirer ou photographier – de loin, sans les déranger – les animaux qui peuplent nos territoires. À commencer par le majestueux orignal et le cerf de Virginie, toujours impressionnants, qui sont plus timides et moins visibles pendant la saison estivale. C’est aussi le moment propice pour l’observation des mammifères marins, à commencer par les baleines, qui fréquentent les eaux du Saint-Laurent jusqu’en octobre, ainsi que les oiseaux de proie migrateurs.

7. La sainte paix

En fin de compte, rien de tel que d’explorer les territoires de la Sépaq hors saison. Après la frénésie de l’été, le calme est de retour sur les sites de camping, sur les plans d’eau et dans les sentiers de randonnée. Les bruits sont atténués, les odeurs végétales sont exacerbées, on fait un avec la nature et on peut tout simplement profiter du temps présent. Sans le moindre moustique !
Photo: Steve Deschênes Pas besoin d’équipement spécial pour camper l’automne.

Quelques conseils pour camper l’automne

La bonne nouvelle : ça n’a rien de compliqué !

Bien s’équiper sous la tente

Les nuits peuvent être fraîches vers la fin de l’automne et à ce temps de l’année, les sacs de couchage chauds, surtout les modèles de type « momie » où seul le visage est à découvert, sont à privilégier. Il est aussi recommandé de se munir d’un matelas de sol isolant, qui bloquera la fraîcheur et l’humidité émanant du sol.

Planifier les soirées à l’extérieur

Lorsque le temps fraîchit et que le soleil se couche plus tôt, on passe forcément plus de temps autour du feu que pendant les mois d’été. Les chaises pliantes sont nettement plus confortables que le sol froid et permettent de rester bien au sec. Ne pas oublier les couvertures, indispensables pour placoter toute la soirée.

Avoir tout sous la main pour cuisiner

Quand les journées sont fraîches, il vaut mieux prévoir des repas chauds, qui demandent une préparation plus élaborée que les repas sur le pouce en été. Un éclairage adéquat et un bon réchaud seront essentiels pour leur préparation. Autre conseil : installer une bâche pour la zone cuisine, qui sera fort utile en cas de pluie.

Opter pour de l’habillement multicouche

Dans la forêt ou en montagne, la température peut varier grandement le temps d’une seule journée. Et les randonneurs savent bien que l’altitude peut aussi faire son petit effet ! Solution : se vêtir en superposant de fines couches – c’est le principe des pelures d’oignon – et opter pour des matières synthétiques qui respirent et qui sèchent rapidement (on oublie le coton). Ne pas oublier la veste en laine polaire ou en duvet, les bas thermiques, de même que gants et chapeau pour parer à toute éventualité. Si on ne les utilise pas, tant mieux !

Prévoir des collations pour les excursions

Barres protéinées, fruits secs, thermos de chocolat chaud ou de soupe, bouteille d’eau. Ce sont les compagnons indispensables des randonneurs qui s’aventurent par temps frais !
Pour en savoir plus : sepaq.com/camping/


Forte de l’engagement de son équipe, la Sépaq met en valeur les territoires et les actifs publics qui lui sont confiés et en assure la pérennité au bénéfice de sa clientèle, des régions du Québec et des générations futures. Elle connecte les gens à la nature.

Ce contenu a été produit par l’équipe des publications spéciales du Devoir en collaboration avec l’annonceur. L’équipe éditoriale du Devoir n’a joué aucun rôle dans la production de ce contenu.

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