
Des opposants au projet Bay du Nord plaident leur cause en Cour fédérale
Écologistes et Autochtones arguent que l’approbation fédérale nuit à la protection de la biodiversité et du climat.
Ottawa a donné son accord au mégaprojet pétrolier Bay du Nord de la pétrolière norvégienne Equinor, au large de Terre-Neuve.
Le pétrole produit avec ce projet controversé pourrait générer 116 millions de tonnes de gaz à effet de serre (GES). Les impacts climatiques mais également les possibilités d’un déversement de pétrole soulèvent également des inquiétudes.
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Écologistes et Autochtones arguent que l’approbation fédérale nuit à la protection de la biodiversité et du climat.
Des groupes environnementaux redoutent un déversement pétrolier lors de l’exploitation en milieu marin.
Près de 100 000 km² de nouveaux permis d’exploration ont été mis aux enchères au large des côtes de Terre-Neuve.
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La décision d’Ottawa est définitive, mais pas celle des promoteurs placés face aux pressions populaires.
La pétrolière pourrait utiliser des levés sismiques, une technologie qui serait également requise pour l’exploitation.
Des scientifiques estiment que l’évaluation initiale du risque de déversement était tendancieuse.
Si le feu vert accordé par le fédéral a suscité un tollé, la population terre-neuvienne, elle, est soulagée.
La quantité de pétrole qui pourrait être produit est revue à la hausse par le géant pétrolier norvégien Equinor.
La série politique danoise reprend du service sur fond de crise climatique, de critique des médias et de décolonisation.