
La pilule abortive en territoire miné aux États-Unis
Plus la pilule abortive devient l’alternative, plus elle est la cible des anti-choix.
Journaliste depuis 15 ans, Stéphanie Marin reprend le flambeau du journalisme judiciaire au Devoir en plus d'y assurer la couverture des affaires policières. Au Devoir depuis octobre 2021, elle a au préalable travaillé comme journaliste pour Radio-Canada dans diverses villes du Québec et de l'Ontario ainsi qu'à La Presse Canadienne, où elle a déniché des nouvelles lors des douze dernières années, dont près de cinq à Ottawa comme correspondante parlementaire. Munie de sa formation d'avocate, ses nouvelles fonctions au Devoir lui permettent d'allier le journalisme avec son intérêt pour les problèmes de société qui se cachent derrière les interventions policières et les procédures devant les tribunaux.
Plus la pilule abortive devient l’alternative, plus elle est la cible des anti-choix.
L’organisme Planned Parenthood s’attend à y recevoir 20 fois plus de patientes en provenance d’autres États.
Les organismes pro-choix de l’État estiment déjà être dans une ère post-«Roe v. Wade».
Notre journaliste Stéphanie Marin, présentement au Missouri, a répondu aux questions de nos lecteurs.
Dans cet État mal desservi pour les soins de santé, il n'y a pas que l’avortement qui est difficile d'accès aux femmes.
La seule clinique d’avortement du Mississippi risque de devoir fermer ses portes si «Roe v. Wade» est renversé.
Les États américains pourront légiférer à leur guise si la décision est officialisée.
Ces photos et vidéos prises pourraient servir pour la première fois lors de procès pour crimes de guerre.
L’avocate de sa mère et de sa grand-mère paternelle s’adressera à la cour civile.
Le DPCP en appelle du jugement ordonnant l’arrêt des procédures contre l’homme, trouvé coupable du meurtre de sa femme.