
Faut-il vacciner les adolescents contre la COVID-19?
Pfizer a annoncé mercredi que son vaccin était sûr et efficace chez les 12 à 16 ans.
Pauline Gravel couvre l’actualité scientifique au Devoir depuis 2001. Détentrice d’une maîtrise en sciences neurologiques de l’Université de Montréal, elle s’intéresse autant à la physique, aux mathématiques et à l’astronomie qu’à la biologie, à la psychologie et à la santé. Avant d’entrer au Devoir, elle a fait de la vulgarisation scientifique pour des émissions de télévision, des musées et des revues, ainsi que du journalisme scientifique pour diverses revues françaises et québécoises.
Pfizer a annoncé mercredi que son vaccin était sûr et efficace chez les 12 à 16 ans.
La situation variable d’un pays à l’autre n’a rien fait pour renforcer la confiance du public.
De très rares cas de thrombose possiblement liés à l’injection en Europe forcent la Santé publique à jouer de prudence.
Le grand porte-queue est désormais présent dans le sud du Québec.
Chez une personne sur huit, le virus s’attaque aux neurones, conséquences à la clef.
Cette hausse particulièrement préoccupante s’expliquerait par différents facteurs environnementaux.
Une étude publiée dans «The Lancet» souligne l’importance de vacciner les aînés même s’ils ont déjà été infectés.
Si l’Europe préfère jouer de prudence, l’OMS le recommande toujours.
La compagnie basée à Québec lance la phase 3 de ses essais cliniques.
Des chercheurs montréalais ajoutent leur grain de sel aux découvertes sur les legs néandertaliens et la COVID-19.