
Le Labrador, cloître sans limites
Une péninsule pour âmes entichées d’eau douce et d’eau salée, de pierre et de solitude.
Monique Durand est une collaboratrice régulière du Devoir. Formée en droit et en sciences politiques, elle a été journaliste et réalisatrice à Radio-Canada avant de sillonner la planète comme journaliste indépendante. Elle a obtenu en 2014 le prix Jules-Fournier du Conseil supérieur de la langue française pour son œuvre dans la presse écrite québécoise. Aussi écrivaine, elle a publié en 2016 Le petit caillou de la mémoire, pour lequel elle a obtenu un prix du Conseil des arts et des lettres du Québec, puis Saint-Laurent mon amour en 2017, qui réunit ses textes publiés dans Le Devoir sur le Saint-Laurent.
Une péninsule pour âmes entichées d’eau douce et d’eau salée, de pierre et de solitude.
Je me promène dans le paysage. Tout est rouge. Rouge fer.
Si ce n’était des oiseaux, on ne saurait où finit la mer et où commence le ciel.
La figure de cette grande femme de lettres est inscrite pour toujours dans le paysage labradorien.
Née dans le ventre du Labrador, la septuagénaire offre à son peuple sa récolte de mémoire.
Monique Durand nous raconte un Labrador qu’elle arpente depuis des années. Troisième de huit articles.
Monique Durand nous raconte un Labrador qu’elle arpente depuis des années. Deuxième de huit articles.
Monique Durand nous raconte un Labrador qu’elle arpente depuis des années. Premier de huit articles.
Dans la nuit du 15 au 16 juillet 2013, la forêt s’est retournée contre le village de Baie-Johan-Beetz.
Voyage au cœur de ses forêts infinies avec ses hordes de caribous et ses mousses où les pas s’enfoncent.