
«Le chant de l’assassin»: la loi du silence
Critique
Des années 1940 à 1970, R. J. Ellory révèle le Texas profond dans sa tragique complexité.
Michel Bélair est devenu critique de polars au Devoir au début du millénaire. Longtemps responsable du cahier Culture hebdomadaire du journal, il y a aussi passionnément couvert le théâtre — avec un penchant marqué pour le théâtre jeunesse — pendant quelques décennies. Retraité sur les hauts plateaux des Appalaches depuis l’automne 2012, il collabore régulièrement au cahier Livres, où il se permet désormais d’afficher sans aucune gêne son engouement pour le roman dit «noir».
Critique
Des années 1940 à 1970, R. J. Ellory révèle le Texas profond dans sa tragique complexité.
Critique Une enquête japonaise met au jour un dérivé des films de meurtre en direct.
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Critique Ian Manook utilise de nouveau son pseudonyme pour redire la violence de l’Amérique.
Critique Pour compliquer les choses un peu plus, voici qu’Armand Gamache est devenu exécuteur testamentaire d’une baronne un...
Critique Une intrigue tordue sur fond de désintégration de l’aristocratie britannique.
Critique Maude Graham mène une double enquête sur les égarements d’une famille sans reproche.
Critique Un écrivain plus ou moins raté sauve un jeune garçon des griffes d’un tueur en série.
Critique Un roman ambitieux, trop sans doute, enfoui sous une écriture parfois étincelante.