
Un tueur en série peut en cacher un autre…
Critique Trois histoires sombres où les apparences et les fausses vérités prennent — quelle surprise ! — beaucoup de place.
Michel Bélair est devenu critique de polars au Devoir au début du millénaire. Longtemps responsable du cahier Culture hebdomadaire du journal, il y a aussi passionnément couvert le théâtre — avec un penchant marqué pour le théâtre jeunesse — pendant quelques décennies. Retraité sur les hauts plateaux des Appalaches depuis l’automne 2012, il collabore régulièrement au cahier Livres, où il se permet désormais d’afficher sans aucune gêne son engouement pour le roman dit «noir».
Critique Trois histoires sombres où les apparences et les fausses vérités prennent — quelle surprise ! — beaucoup de place.
Critique Trois lieux chargés, trois réponses biaisées, trois fuites en avant…
Critique Au bulletin de nouvelles, l’apocalypse est à nos portes; comme si le feu ne couvait pas déjà sous la braise.
Critique Des romans de Panowich, Jónasson et Aspe, violents chacun à leur façon, alourdis par le secret.
La majorité des livres les plus attendus viennent, encore une fois, du froid: Indridason et Jónasson en tête.
Dans la pile des arrivages de fin d’année, trois titres émergent, branchés chacun à sa façon sur la triste réalité du...
Les affaires les plus tordues se cachent bien souvent sous un amas de preuves accablantes.
La crème de 2021 côté jeunesse, bédé, poésie, polar et essai.
À Toronto, à Venise ou même à Matagami en pleine tempête, la petitesse s’affirme trop souvent à travers la violence.
Trois histoires à double registre où les retours en arrière donnent toute son ampleur au récit.