
Jason Kenney, victime de la polarisation conservatrice au Canada
La démission du premier ministre de l’Alberta à la suite d’un vote de confiance a causé une onde de choc.
Marie Vastel est journaliste au Devoir depuis 2011 à titre de correspondante parlementaire à Ottawa, où elle était en poste depuis 2009 pour La Presse canadienne. Elle couvre tout ce qui touche la politique fédérale, tant les enjeux sociaux comme la légalisation de la marijuana, l’immigration ou les affaires autochtones que les affaires étrangères, la sécurité nationale, la défense ou le Sénat. Elle collabore régulièrement à titre d’analyste politique à Radio-Canada et à la CBC, à la radio comme à la télévision, et a siégé à l’exécutif de la Tribune de la presse parlementaire canadienne. Elle est diplômée en histoire de l’art et en journalisme.
La démission du premier ministre de l’Alberta à la suite d’un vote de confiance a causé une onde de choc.
S’il le voulait, le gouvernement pourrait doter le pays d’une réelle identité légale d’État, selon des experts.
Analyse Le pacte qu’il a signé avec le gouvernement Trudeau fait déjà grincer des dents.
La foule présente sur la pelouse du parlement était bien moins dense que celle observée ces dernières années.
Les aspirants chefs se sont néanmoins envoyé quelques flèches au fil des échanges.
La motion bloquiste qui visait à la remplacer par un moment de réflexion a été défaite par une majorité d’élus fédéraux.
Analyse Devant l’invalidation probable de «Roe v. Wade», Justin Trudeau n’avait pas bien plus à offrir que des élans oratoires.
La majorité des élus qui appuient le meneur de la course à la chefferie sont anti-choix.
Le meneur a été ciblé de toutes parts, mais Jean Charest a aussi essuyé des attaques musclées.
Analyse Le nombre de candidats présente un léger défi pour le meneur, Pierre Poilievre, mais aussi pour Jean Charest