
Solo pour deux, ou quand Robert Lepage tend la main à Yves Jacques
Premier face-à-face entre le créateur et l’acteur dans «La face cachée de la lune».
Marie Labrecque collabore depuis 2004 au Devoir, où elle couvre l’actualité théâtrale, une fonction qu’elle avait auparavant exercée durant plusieurs années pour l’hebdomadaire Voir à titre de journaliste pigiste, puis de chef de pupitre. Depuis sa formation en communications et en études littéraires à l’UQAM, elle a écrit sur des sujets d’art et de société dans plusieurs magazines, en plus d’être rédactrice à l’occasion pour des organismes culturels.
Premier face-à-face entre le créateur et l’acteur dans «La face cachée de la lune».
La création continue derrière les portes closes, une effervescence dont témoignent ces morceaux choisis.
Daniel Brière et Daniely Francisque capturent la parole libérée des gérants d’estrade, entre le Québec et la Martinique.
Ricard Soler Mallol met en cause la spirale de la croissance à tout prix avec le concours du Projet bocal.
Le créateur propose une réponse théâtrale à la distanciation sociale avec «Vers solitaire», une déambulation sonore.
Les deux acteurs signent une version de «King Dave» au diapason de l’air du temps.
Spectacles, laboratoires, lectures, déambulatoires permettent le retour des arts vivants après des mois de gel.
Le Théâtre Jean-Duceppe reprend le solo interactif «Toutes les choses parfaites» dans une version adaptée à la pandémie.
Le créateur est nommé à la tête du Théâtre français du CNA.
À la crise pandémique s’ajoute celle des changements climatiques, qui ne peut plus être occultée.