
Quand la Russie lorgnait les États-Unis au CCA
Critique Une exposition sur l’amerikanizm retrace les emprunts architecturaux et culturels qui ont façonné la Russie moderne.
Marie-Ève Charron est critique d’art au quotidien Le Devoir depuis 2007 comme pigiste après un premier passage au quotidien de 2001 à 2003 et à La Presse en 1999. Depuis ses études en histoire de l’art (UQAM, 1999; Université de Montréal, 2003), son intérêt croissant pour l’art contemporain et actuel s’incarne dans les revues Parachute et esse arts + opinions, ainsi que dans diverses publications spécialisées. Commissaire indépendante d’exposition, elle enseigne également l’histoire de l’art au cégep de Saint-Hyacinthe et comme chargée de cours à l’UQAM.
Critique Une exposition sur l’amerikanizm retrace les emprunts architecturaux et culturels qui ont façonné la Russie moderne.
Critique Les portraits inventés de la peintre font l’objet d’un survol au MAC.
Critique Le MNBAQ offre la reconnaissance muséale qui manquait au duo.
Critique La Fonderie Darling célèbre dix ans de collaboration avec l’Amérique latine.
La biennale d’art performatif se clôt avec une sélection de propositions à découvrir.
Critique Sur les traces de Charles Gagnon, Mathieu Grenier signe une collaboration posthume inspirée.
Critique Avec une édition axée sur les enjeux de l’heure, Momenta remporte le pari de sa réinvention.
Critique
L’exposition offre un premier survol du travail de Philippe Caron Lefevbre.
Les questions identitaires seront au rendez-vous de même que notre rapport au monde et à ses représentations.