
À plusieurs, c’est mieux
Pour de nombreux artistes, la pérennisation de l’atelier passe par le regroupement, la résistance et l’inventivité.
Marie-Ève Charron est critique d’art au quotidien Le Devoir depuis 2007 comme pigiste après un premier passage au quotidien de 2001 à 2003 et à La Presse en 1999. Depuis ses études en histoire de l’art (UQAM, 1999; Université de Montréal, 2003), son intérêt croissant pour l’art contemporain et actuel s’incarne dans les revues Parachute et esse arts + opinions, ainsi que dans diverses publications spécialisées. Commissaire indépendante d’exposition, elle enseigne également l’histoire de l’art au cégep de Saint-Hyacinthe et comme chargée de cours à l’UQAM.
Pour de nombreux artistes, la pérennisation de l’atelier passe par le regroupement, la résistance et l’inventivité.
Critique Remarquable, son livre photographique donne une autre vie au roman «Le premier jardin».
«Enlever la caméra m’a permis de regarder autrement» dit l’artiste qui intègre dans son projet des plantes exotiques...
L’installation de Ludovic Boney résonne comme une injonction pour tromper la langueur.
Critique Julien Prévieux et de Karine Savard réfléchissent aux liens entre l’individu, son travail, son rendement et son salaire.
Éric Simon et Pierre Gauvin exposent 20 ans d’échanges épistolaires.
Critique En résidence, l’artiste ose l’installation, mêlant paysage, abstraction et architecture.
Critique Les oeuvres de Sandra Brewster confrontent avec efficacité les notions d’identité et d’invisibilité.
Critique L’expo «Des horizons d’attente» met en valeur les nouvelles acquisitions de la collection du Musée.
Critique L’artiste aborde avec un sens du merveilleux doucement subversif l’enjeu préoccupant de la vie marine en péril.