
Ouvrir ses ornières au musée
2022 verra une Manif d’art (yé !), et plusieurs expos emballantes. Suivez le guide !
Marie-Ève Charron est critique d’art au quotidien Le Devoir depuis 2007 comme pigiste après un premier passage au quotidien de 2001 à 2003 et à La Presse en 1999. Depuis ses études en histoire de l’art (UQAM, 1999; Université de Montréal, 2003), son intérêt croissant pour l’art contemporain et actuel s’incarne dans les revues Parachute et esse arts + opinions, ainsi que dans diverses publications spécialisées. Commissaire indépendante d’exposition, elle enseigne également l’histoire de l’art au cégep de Saint-Hyacinthe et comme chargée de cours à l’UQAM.
2022 verra une Manif d’art (yé !), et plusieurs expos emballantes. Suivez le guide !
Pour avoir usé du mot «bienveillance» avant que la pandémie le mette au goût du jour, elle fait figure de précurseure.
«On va faire le plus possible avec nos moyens», promet le directeur général John Zeppetelli.
Trois propositions à la teneur et au format variés qui ont pour fil conducteur le paysage à l’ère postfordiste.
Critique À Occurrence, l’alter ego de Marie-Claude Bouthillier brille dans des saynètes drôles et touchantes.
À la Fondation Grantham, l’artiste nous éclaire sur le rôle fondamental des incendies de forêt.
Une visite dans l’espace singulier de travail de l’artiste montréalaise Sylvia Safdie.
Critique Contre les apparences, tout se trouve à l’horizontale chez Bouffard, qui exploite les couches d’épaisseurs.
Critique Quelques rencontres inédites et nécessaires pour reconnaître l’état critique de la planète.
L’artiste redonne à ce genre fondé sur l’observation du réel son pouvoir à vaincre l’ennui.