
Le désoeuvrement créatif de Tisiga
Critique Pour l’artiste du Yukon venu s’installer à Montréal, 2020 aura été faite d’action et de paralysie.
Marie-Ève Charron est critique d’art au quotidien Le Devoir depuis 2007 comme pigiste après un premier passage au quotidien de 2001 à 2003 et à La Presse en 1999. Depuis ses études en histoire de l’art (UQAM, 1999; Université de Montréal, 2003), son intérêt croissant pour l’art contemporain et actuel s’incarne dans les revues Parachute et esse arts + opinions, ainsi que dans diverses publications spécialisées. Commissaire indépendante d’exposition, elle enseigne également l’histoire de l’art au cégep de Saint-Hyacinthe et comme chargée de cours à l’UQAM.
Critique Pour l’artiste du Yukon venu s’installer à Montréal, 2020 aura été faite d’action et de paralysie.
Critique Le MAJ consacre à l’oeuvre de Monique Régimbald-Zeiber un survol révélant son engagement féministe
Critique Le Met Breuer présente un important survol de la carrière du peintre allemand.
Critique La commissaire Julia Eilers Smith redonne aux discours de la fin leur complexité.
Critique Pascal Grandmaison réenchante la fonction mémorielle de l’image.
Critique Les systèmes de pouvoir dans la mire du premier solo à la galerie Bradley Ertaskiran.
Critique Chez B-312, la commissaire Yan Zhou a été inspirée par le problème du smog chinois.
Critique Un survol du travail de Luce Meunier déploie 15 ans d’expérimentations formelles.
Critique Les oeuvres de Mat Chivers jouent avec l’IA pour mieux en mesurer l’incidence sur nos vies.
Critique Depuis 2012, l’artiste fait du camion un atelier qui mène à des récits pluriels.