
Encore cinq ans pour régler la pénurie d'enseignants, estime Jean-François Roberge
Le ministre Jean-François Roberge défend le bilan de ses quatre années à l’Éducation.
Marco Fortier est journaliste au Devoir depuis 2013. Il a couvert l’actualité politique au cours des 20 dernières années, notamment au Journal de Montréal et à Ruefrontenac.com, mais il est un touche-à-tout dans l’âme: il a suivi une expédition canadienne au mont Everest (dont il a tiré le livre Sur le toit du monde en 2000), couvert le référendum de 2014 sur l’indépendance de l’Écosse et la campagne présidentielle de 2016 aux États-Unis. Son reportage Voyage au bout de la vie lui a valu le prix Judith-Jasmin (Entrevue ou portrait) en 2016. Il se déplace à vélo été comme hiver et s’intéresse aux questions d’aménagement urbain.
Le ministre Jean-François Roberge défend le bilan de ses quatre années à l’Éducation.
Les parcours atypiques font un retour après avoir été mis de côté, faute d’intérêt de la part des élèves.
Les parcours atypiques se multiplient pour les élèves doués ou ayant besoin de plus de temps pour apprendre.
Les avocats de centaines d’étudiants indiens s’estimant lésés par le Québec et le Canada alertent l’opinion publique.
Ottawa et les Premières Nations s’entendent pour un investissement «substantiel» et davantage d’autonomie aux écoles.
Le ministre de l’Éducation tenait à ne pas faire d’ombre aux récipiendaires de l’Ordre de l’excellence en éducation.
En pleine pénurie de main-d’oeuvre, Québec cherche à valoriser le personnel scolaire.
Le Centre de services scolaire de Montréal multiplie les «projets particuliers» dans les écoles autrefois délaissées.
Les parents d’élèves en difficulté doivent se battre pour que leurs enfants aient droit à des outils technologiques.
Les fermetures de classe ont affecté principalement les élèves les plus vulnérables, conclut une étude.