
Une première école ferme à Montréal en raison d'une éclosion
L’école Herzliah recense plus de 15 cas de COVID-19.
Lisa-Marie Gervais est journaliste au Devoir depuis 2009. Elle a d’abord couvert l’éducation, dont les manifestations du Printemps érable en 2012, et s’occupe maintenant des dossiers touchant l’immigration et la diversité, avec un intérêt marqué pour les affaires internationales. Auparavant journaliste indépendante, elle a réalisé plusieurs reportages à l’étranger, notamment en Amérique latine, en Asie et en Afrique. Polyglotte, elle détient un baccalauréat en journalisme de l’UQAM et une maîtrise de l’Institut d'études politiques de Paris. Elle siège au comité éditorial du magazine Nouveau Projet depuis sa fondation en 2012.
L’école Herzliah recense plus de 15 cas de COVID-19.
La majorité des répondants disent entre autres avoir eu de la difficulté à avoir accès à des soins de santé.
Au-delà de son effet réconfortant, un réseau de soutien s’avère crucial pour les nouveaux arrivants.
Des sous-groupes de 5-6 élèves jusqu’aux classes étanches, le concept a beaucoup fait jaser.
Une première journée de classe à degré d’organisation variable selon les écoles.
Une nouvelle éclosion d’une trentaine de cas inquiète des parents dans le quartier Ascot.
Évoquant la mémoire de son père, le Libano-Québécois Pierre Naccache raconte le port.
L’enseignement à distance, advenant une éclosion, suscite bien des interrogations.
«C’est une catastrophe qui s’ajoute sur une autre.»
Avec la pandémie, les étudiants étrangers se feront rares à la rentrée cet automne.