
Sans volontaires, point de francisation
Devant attendre septembre pour leurs cours, des réfugiés ukrainiens se rabattent sur l’aide de bénévoles.
Lisa-Marie Gervais est journaliste au Devoir depuis 2009. Elle a d’abord couvert l’éducation, dont les manifestations du Printemps érable en 2012, et s’occupe maintenant des dossiers touchant l’immigration et la diversité, avec un intérêt marqué pour les affaires internationales. Auparavant journaliste indépendante, elle a réalisé plusieurs reportages à l’étranger, notamment en Amérique latine, en Asie et en Afrique. Polyglotte, elle détient un baccalauréat en journalisme de l’UQAM et une maîtrise de l’Institut d'études politiques de Paris. Elle siège au comité éditorial du magazine Nouveau Projet depuis sa fondation en 2012.
Devant attendre septembre pour leurs cours, des réfugiés ukrainiens se rabattent sur l’aide de bénévoles.
Des établissements pour personnes âgées ou handicapées situés en région attendent ces stagiaires depuis plus d’un an.
Les avocats de centaines d’étudiants indiens s’estimant lésés par le Québec et le Canada alertent l’opinion publique.
En profitant de groupes d’entraide sur Facebook, des Canadiens tentent d’exploiter des réfugiées ukrainiennes.
Le chaos des premiers jours de la guerre en Ukraine a été extrêmement dangereux pour les réfugiées.
L’Ukraine est depuis longtemps un pays ciblé par les réseaux de traite humaine.
La Cour supérieure a estimé que Québec n’avait pas les pouvoirs pour réinterpréter un article de loi déterminant.
Transports Canada a pourtant signé une entente de reconnaissance des brevets il y a deux mois.
La province espère ainsi y combler les besoins de main-d’oeuvre et attirer les immigrants hors de Montréal.
Ils sont souvent «captifs» de leur travail, démontre une étude qualitative de l’Université Laval.