
22 ans d’épreuve uniforme de français risquent d’être jetés à l’eau
Rétroactive, l’exemption de la réussite à l’épreuve uniforme de français au cégep sème l’inquiétude chez les profs.
Lisa-Marie Gervais est journaliste au Devoir depuis 2009. Elle a d’abord couvert l’éducation, dont les manifestations du Printemps érable en 2012, et s’occupe maintenant des dossiers touchant l’immigration et la diversité, avec un intérêt marqué pour les affaires internationales. Auparavant journaliste indépendante, elle a réalisé plusieurs reportages à l’étranger, notamment en Amérique latine, en Asie et en Afrique. Polyglotte, elle détient un baccalauréat en journalisme de l’UQAM et une maîtrise de l’Institut d'études politiques de Paris. Elle siège au comité éditorial du magazine Nouveau Projet depuis sa fondation en 2012.
Rétroactive, l’exemption de la réussite à l’épreuve uniforme de français au cégep sème l’inquiétude chez les profs.
Les nouvelles réalités pandémiques continueront d’orienter la politique à tous les niveaux.
Pour mettre la main sur la résidence permanente, des étudiants étrangers paient à fort prix leur formation au Canada.
Une trentaine d'établissements font appel au recrutement intensif à l’international.
Le ministre canadien de l’Immigration se dit prêt pour une deuxième phase.
La reprise des expulsions de tous les autres demandeurs d’asile déboutés continue néanmoins de susciter des inquiétudes.
À compter du 30 novembre, des milliers de demandeurs d’asile déboutés pourront être renvoyés du pays.
Avec 116 nouveaux cas, les Cantons-de-l’Est connaissent une de leurs plus fortes augmentations.
Des étudiants indiens se retrouvent au cœur d’une bataille juridique sur leurs droits de scolarité malgré eux.
Une pétition pour ramener au pays des jeunes détenus dans des conditions difficiles peine à recueillir 500 signatures.