
Radio-Canada blâmée pour son utilisation du mot en n
Le diffuseur public est sommé de fournir «des excuses écrites publiques au plaignant».
Jean-Louis Bordeleau est passé par les salles de rédaction de Radio-Canada de l’Est-du-Québec avant de se joindre au Devoir. S’exprimant en français, en anglais, en russe et en arabe classique, il est maintenant rattaché à la section des actualités en tant que généraliste. Il écrit sur des dossiers aussi variés que la pandémie, la guerre en Ukraine et l’immigration partout au Québec.
Le diffuseur public est sommé de fournir «des excuses écrites publiques au plaignant».
Québec espère que le district deviendra un «modèle» pour traiter les dossiers de violences sexuelles.
Bien que la première page ait pu être de «mauvais goût», elle ne constitue pas une faute, selon le Conseil de presse.
Le premier rédacteur du FLQ avait plus tard travaillé au «Journal de Montréal» et au «Devoir».
Malgré un système de billets censé désengorger les files, des voyageurs sont partis bredouilles mercredi matin.
Malgré des milliers d’articles scientifiques à son sujet, le coronavirus cache encore quelques secrets.
Parmi les cas d’Omicron, 4,5 % des patients seulement ont connu une COVID longue.
Ils sont moins de 10 % à penser que le pire de la crise est encore à venir.
La Cour suprême a récemment acquitté un suspect, car étant intoxiqué, «il n’avait aucune maîtrise de ses gestes».
La première tentative montréalaise d’implanter ces engins avait suscité de nombreuses critiques.