
Sortir de la pauvreté est plus cher en région qu'en ville
De 32 300 $ par an pour une personne seule à Montréal, le seuil de revenu viable s’élève à 45 500 $ à Schefferville.
Éric Desrosiers est journaliste au Devoir depuis 1998. Il s’est joint à la section économie en 2001. Outre l’actualité, il s’intéresse notamment aux impacts économiques, politiques et sociaux de grands phénomènes tels que la mondialisation, l’ascension des économies émergentes, les défis du développement durable, les nouvelles technologies et le choc démographique. Politologue de formation, il est passé par l’Université Laval (baccalauréat), l’Université McGill (maîtrise) et l’Université de Montréal (doctorat). En 2016, il a reçu le Prix d’excellence en journalisme économique et financier québécois.
De 32 300 $ par an pour une personne seule à Montréal, le seuil de revenu viable s’élève à 45 500 $ à Schefferville.
Analyse La réaction des «alliés traditionnels» du Canada témoigne de leur volonté de réduire leur dépendance à la Chine.
Les dernières études semblent indiquer que le télétravail se traduit par une certaine perte de la productivité.
Il faudrait au moins essayer de réduire le coût de la perte des «dividendes de la paix».
«On crée au Québec les retraités parmi les plus pauvres au Canada», déplore la p.-d.g. du Fonds de solidarité FTQ.
Analyse Le poids de l’ensemble des dettes publiques et privées dans le monde a plus que doublé depuis les années 1950.
Les 28 milliards versés à des usines de batteries en Ontario mettront 20 ans à se rentabiliser, dit le DPB.
Elles sont à la remorque de leurs clients en matière de prix, de technologie et d’environnement, rapporte la BDC.
Analyse Longtemps défenseurs d’un certain laisser-faire, les États-Unis ont lancé une course à l’État le plus offrant.
Le choc démographique ne sera pas catastrophique pour les finances publiques, si on maintient la situation actuelle.