![Pour adapter «Le roman de monsieur de Molière» de l’écrivain russe Mikhaïl Boulgakov, le transposer sur la scène du TNM, Lorraine Pintal a requis le savoir-faire de Louis-Dominique Lavigne. «J’ai accepté l’offre de Lorraine [Pintal] avant même d’avoir lu le livre, explique-t-il. Parce qu’on se connaît depuis 40 ans et que j’apprécie beaucoup son travail, mais aussi parce que j’avais dévoré](https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwl_878453_699956/image.jpg)
Louis-Dominique Lavigne chez les satiristes
L’auteur raconte comme il prépare soigneusement une rencontre entre Molière et Boulgakov.
L’auteur raconte comme il prépare soigneusement une rencontre entre Molière et Boulgakov.
Gabriel Cholette et Pierre-Luc Landry témoignent de l’effervescence de ce champ littéraire.
Critique André Aciman donne une suite bouleversante à «Appelle-moi par ton nom».
Lorraine Pintal a confronté l’actrice à une démesure absolue avec son adaptation de «L’avalée des avalés».
Critique Daniel Mendelsohn démontre que la digression n’est jamais une déviation.
Les collectifs québécois de l’automne offrent une stimulante diversité de tons. Morceaux de choix.
Gilbert David et Hélène Jacques ont oeuvré à une incomparable synthèse de l’activité théâtrale québécoise.
Le dramaturge raconte l’épineux ménage à trois au centre d’«Adieu, Monsieur Haffmann», présenté au Rideau Vert.
François Girard et Emmanuel Schwartz s’attaquent au monologue existentiel de l’Américain Glen Berger.
Critique Depuis sa table à dessin, Eve Marie Gingras se porte à la défense des animaux.