
Les oeuvres québécoises ont la cote à la Grande Bibliothèque
En matière de films et de séries télévisées, cependant, ce sont les productions américaines qui ont la cote.
Caroline Montpetit est journaliste au Devoir depuis 1990. D’abord généraliste, elle s’est intéressée successivement aux affaires sociales, à l’éducation, aux affaires autochtones et à la culture. Elle détient une maîtrise en littérature et a publié deux recueils de nouvelles, Tomber du ciel (2006) et L’enfant (2009). Son reportage sur les femmes et la dot en Inde, publié dans la Gazette des femmes en 2004, lui a valu le prix de journalisme d’Amnistie internationale. Passionnée de voyage et de plein air, elle a été plusieurs fois lauréate du Prix de journalisme en loisir.
En matière de films et de séries télévisées, cependant, ce sont les productions américaines qui ont la cote.
Les salles de spectacle et les cinémas doivent de nouveau fermer leurs portes jusqu’à nouvel ordre.
Pierre Bastien explore les liens étroits qui nous unissent aux Autochtones du pays.
Les éditions Les 400 coups lancent une série de grands textes sous forme de beaux livres.
Elle a fait de la sororité un thème majeur de son œuvre.
Avec le spectacle permanent «Céleste», l’hôtel fait le pari d’attirer les Montréalais dans une «expérience augmentée».
La journaliste et autrice Marie Charrel explore l’âgisme envers les femmes dans son essai «Qui a peur des vieilles?».
Entièrement tournée au Manitoba, la première saison porte essentiellement sur l’enfance de l’écrivaine.
Des architectes et des designers cherchent des formes de réinterprétation plus souple de l’histoire dans l’art public.
Elle aura été l’une des premières à faire vivre la réalité des femmes immigrantes à travers ses livres.