
Le juge Poliquin est tombé dans les stéréotypes, selon le DPCP
Le DPCP reproche au juge d’avoir «prononcé une peine manifestement déraisonnable».
Améli Pineda est journaliste généraliste, avec un penchant pour la politique municipale et les affaires judiciaires. Arrivée au Devoir au début de 2017 en tant que surnuméraire après avoir été journaliste pour Le Journal de Montréal et 24 heures, elle a entre autres couvert les inondations du printemps qui ont frappé plusieurs municipalités du Québec. Elle privilégie le travail de terrain, qui permet de mettre un visage sur les enjeux d’actualité. Sa principale motivation se fonde sur le mantra d’Henri Bourassa, fondateur du Devoir, d’«appuyer les honnêtes gens et dénoncer les coquins».
Le DPCP reproche au juge d’avoir «prononcé une peine manifestement déraisonnable».
Pour célébrer ses deux ans de sobriété, l’humoriste tente un retour devant son public avec un enregistrement balado.
L’animatrice est visée par une poursuite en diffamation déposée par Gilbert Rozon.
Les deux animatrices estimaient que l’ex-magnat de l’humour tentait de les intimider en usant du système judiciaire.
L’ex-producteur québécois a livré sous serment un témoignage où il a abordé la vague de dénonciations de 2017.
«Le Devoir» a suivi l’Équipe multisectorielle dédiée aux armes à feu (EMAF) lundi.
Enquête Malgré nombre de condamnations, des agresseurs multiplient les victimes qui se sentent abandonnées par la justice.
Enquête Le nombre de meurtres conjugaux en 2021 illustre les difficultés du système à stopper les auteurs de ces violences.
Comment prévenir la violence conjugale? «Le Devoir» a suivi policières et intervenantes pendant deux jours.
Il réclamait 1,2 million de dollars après avoir été accusé à tort de tentative de meurtre sur un policier du SPVM.