Annamie Paul a remplacé Elizabeth May à la tête du Parti vert du Canada en octobre 2020, soit en pleine pandémie de COVID-19.
L’avocate ontarienne spécialisée en droit international a tenté à trois reprises de se faire élire dans la circonscription de Toronto-Centre, en 2019, 2020 et 2021, sans succès. Elle a annoncé, en novembre 2021, qu'elle démissionnait de son poste de cheffe, en plus de claquer la porte du Parti vert.
Une personnalité très connue figure parmi les candidats: l’ancienne cheffe du Parti vert de 2006 à 2019, Elizabeth May.
Plusieurs semaines se sont écoulées entre la première annonce de son départ et sa démission officielle.
Annamie Paul a lancé un processus d’arbitrage l’été dernier concernant son contrat de travail.
Les mises à pied touchent le personnel du bureau d’Annamie Paul et les services de communication et de la mobilisation.
Le Parti vert du Canada prépare son processus de révision, comme si Mme Paul n’avait pas annoncé son départ.
L’ancienne cheffe lui enjoint de partir dans les plus brefs délais, pour le bien du parti.
Éditorial La formation écologiste est mûre pour une profonde remise en question.
![«Est-ce que j’ai la force de continuer [à subir] les attaques, les conflits? La conclusion est que non, je ne l’ai pas», a expliqué Annamie Paul lundi.](https://media2.ledevoir.com/images_galerie/nwl_1008984_818838/image.jpg)
«Ç’a été la pire période de ma vie», a dit l’avocate en remettant sa démission.
Chronique Après Annamie Paul, lequel d’entre eux partira en premier?
Les résultats en deçà des attentes menacent sérieusement le PVC, aux prises avec des difficultés financières.