Retour à la normalité
Éditorial La bureaucratie étatique prend les rênes du REM de l’Est pour le meilleur et pour le pire.
Le projet du Réseau express métropolitain (REM), d’abord piloté par la CDPQ-Infra, est un projet de train électrique de 26 stations reliant la Rive-Sud de Montréal à la ville de Deux-Montagnes, en passant notamment par l’aéroport Montréal-Trudeau.
Début 2022, les commandes du projet ont été confiées à l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), au ministère des Transports, à la Ville de Montréal et à la Société de transport de Montréal (STM). Québec a également décidé d’éliminer le tronçon du REM de l’Est au centre-ville de Montréal.
D’abord prévu pour l’été 2021, le projet a été reporté à 2022 et les coûts de sa mise en fonction devraient s’élever à plus de 10 milliards de dollars. C’est le consortium Alstom Transport Canada et SNC-Lavalin qui sera chargé de la production des voitures du REM, un projet dont les coûts et le tracé ont notamment suscité la controverse du côté des villes de banlieue.
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